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Histoire de Jijel ex Djidjelli ex Igilgilli

"Description de l'Afrique" par LÉO(LÉON) L'AFRICAIN"

Il donne un description de Jijel et de ses habitants Plus un carte de la  ville de Jijel datant de 1661!! D'après le traducteur du livre, cette carte se trouve au "British Museum".

Ce Léo (aka Léon) est d'origine Arabo-Musulmane! Ne en Espagne(Grenada) a  étudie dans les grands centres islamiques en particulier, Fez. il a voyage partout en Afrique. Il était le premier qui a décrit Tombouctou et les pays de l'Afrique noire au sud du Sahara. En remontant le vers Tripoli, il a été captures par des corsaires Italiens qu'ils l'ont offert en "Esclave" au Pape Léo X (Léon avant la  pontification). En découvrant ses connaissances, et sa maîtrise de plusieurs langues(Arabe, Latin, Français,  Italien Espagnole etc..) Ce dernier lui a donne sa liberté et lui a donne son "nom" Léon. Pour le distinguer du Pape, en lui ajouter le mot L'Africain. C'est la qu'il a entreprit de traduire ses livres de voyages a travers l'Afrique vers l'Italien a la demande du Pape! 

Autres noms donnes a Jijel: Gigery, Zizeri, Ighilghili, Zigeri-Gigerry et Gegel 

Voila ce que Léo a dit de Gegel:
"Gegel, Château C'est un château ancien, bâti par les Africains au bord de la mer, sur un haut rocher, a environ 70 milles de Bougie(13).
Il fait prés de 500 feux et les maisons en sont belles. Les hommes sont vaillants, généreux et fidèles; tous sont cultivateurs, mais leurs terrains sont après et ne sont bons que pour l'orge et pour le lin, comme aussi le chanvre, qui pousse en grande quantité. Il y'a également beaucoup de noix et de figues que l'on transporte a Tunis sur de petits bateaux. Ce château avait toujours conserve sa liberté, malgré les rois de Bougie et ceux de Tunis parce qu'on ne peut l'assiéger. Cependant ces gens se soumirent de leur propres volonté a Barberousse(14). Barberousse ne lui imposa que la dîme sur les grains et les fruits, chose qui a toujours été licite et dans les usages. Il ne laissa comme représentant dans le château qu'un seul commissaire.
(13): L'ancien igilgili romain, la jijil arabe, Djidjelli, se trouvait sur la presqu'île très basse et très plate située a 96 km., 60 milles de Bougie
(14): En réalité Barberousse reprit en 1514, avec l'aide du seigneur 
local, Ben El Kadi ce ksar(Château) aux Génois qui s'en étaient empares.
D'après d'autres sources littéraires, Jijel est passée dans les mains des 
Chrétiens (plutôt rases par leur marine) en 6eme/12eme Siècles: En 
537HG/1143 AD, George of Antioche, un Amiral de Roger II de Sicily a pris la ville et son fort après l'avoir pratiquement détruite.

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La Tribu des Kotama PDF en Arabe

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Portrait de Khayr ad-Din Barberousse

Portrait de Khayr ad-Din Barberousse

Khizir Khayr ad-Dîn (turc : Barbaros H?z?r Hayreddin Pasa ou Chair ad Din, diminutif : Chaireddin, voire Cheireddin) dit Barberousse, grand amiral de l’Empire ottoman, frère cadet d’Arudj Reïs, né en 1467 dans l’île de Lesbos à Mytilène, mort le 4 juillet 1546. Il fut avec Andrea Doria le plus grand marin de son temps.

Yacoub Reïs, potier à Mytilène, a quatre fils : Arudj, Elias, Ishac et Khizir. Les deux derniers sont potiers comme leur père, Arudj est marin. Il est capturé et esclave à Rhodes. Khizir rassemble une grosse somme d’argent pour racheter son frère. Arudj parvient à s’évader et Khizir revient à son métier de potier. Par la suite, il rejoint son frère Arudj, qui déposa les Hafsides du trône de la Tunisie. Il ramène des musulmans et des juifs de l’Andalousie fuyant la pression de l’inquisition espagnole et les conversions de force décrétées par Isabelle la Catholique en 1492 vers l’Empire ottoman où le sultan Bayezid II leur avait donné refuge. Cela lui confère un grand prestige aux yeux des musulmans et c’est à cette période qu’il acquiert son surnom de « Barberousse ».

Khizir s’était vu confier la régence sur Alger par son frère Arudj, pendant que celui-ci était parti conquérir l’Ouest de l’Algérie. Après la défaite de son frère, les populations cherchent à se défaire de cette tutelle étrangère. Barberousse a alors l’idée de s’allier à l’Empire ottoman. Il fait allégeance au sultan Sélim Ier qui lui donne la titre de pacha et de beylerbeyi, avec une troupe de 2 000 hommes munis d’artillerie puis même de 4 000 volontaires ayant le statut de janissaires.

Ces renforts arrivent à point pour juguler la révolte des populations et pour parer à un nouvel assaut espagnol (1519). Cependant, il est vaincu par une armée de Hafsides : il doit céder Alger et se replier sur Djidjelli Jijel. Il revient à sa carrière de moudjahid pour reconstituer ses finances (1520-1525).

Il reprend ses conquêtes dès qu’il le peut. Il s’empare de Collo (1521) puis de Annaba (1522), puis de Constantine et enfin il reprend Alger, où les Kabyles qui l’en avaient chassé s’étaient rendus impopulaires (1525). Il réprime brutalement toute tentative de soulèvement - la forteresse espagnole du Peñon menace toujours la ville.

En 1529, Barberousse entreprend le siège du Peñon. Après trois semaines de bombardement d’artillerie, le commandant Martin de Vargas, trahissant les populations d’Alger, se rend avec 25 hommes. Il périt sous les coups de bâton (27 mai 1529). Barberousse fait raser la forteresse et emploie les pierres pour construire un môle de 200m de long et 25m de large, créant ainsi le port d’Alger. La flotte turque en fait son refuge habituel dans cette partie de la Méditerranée.

En 1531 l’amiral gênois Andrea Doria, au service de l’Espagne, se fait fort de le vaincre : il essuie une défaite historique. 400 Espagnols sont tués. Barberousse poursuit la flotte espagnole en déroute et ravage au passage les côtes italiennes et la Provence.

En 1533, Barberousse est nommé le grand amiral de la flotte ottomane par le sultan Soliman qui lui donna le nom de Khayr ad-Din. Il désigna son fils adoptif Hasan comme son successeur.

Ensuite, Barberousse cherche à punir le sultan hafside et à étendre le domaine islamique : il attaque la Tunisie. Il profite des dissensions des Hafsides pour entrer dans Tunis (août 1534). Il proclama la déchéance des Hafsides et installa une garnison à Kairouan.

Les Espagnols, aidés par les Tunisiens inquiets de ces succès, sont appelés au secours par le sultan hafside détrôné, Moulay Hassan. Ils prennent La Goulette (Halq al-Wadi, Halq el-Oued), port de Tunis (14 juillet 1535) puis Tunis même, avec l’aide des habitants que Barberousse n’avait pas massacrés. Ils massacrent le tiers de la poplulation de la ville pendant trois jours, avec l’accord du roi hafside. Barberousse combat jusqu’a la dernière minute les hordes espagnoles et se replie à (Annaba) où il trouve un soutien. Revenant à son activité de corsaire, il prend Mahon (capitale de l’île de Minorque, dans l’archipel des Baléares), où il fait 6 000 prisonniers et un énorme butin (1536).

© 1999-2008  abderahman
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